Niels en voyage

Chers lecteurs,

Me voici arrivé à l’aéroport de Los Angeles en Californie et jamais au grand jamais je n’aurais pensé mettre les pieds en Australie en partant de France une année plus tôt. Je vous explique : mon vol pour Auckland (NZ) fait escale à Brisbane (Australie) !

Je ne reste que très peu de temps évidemment car je serais seulement dans l’attente de mon avion suivant. Toujours est-il que mon escale est suffisamment longue – plus de huits heures – pour recquérir un “visa”, qui est, surprise, valable un an. Ouf, cette démarche a pu être réalisé depuis le comptoir d’enregistrement pour la somme de US$25. Première surprise qui n’était pas indiqué lors de ma réservation. Heureusement, ce n’est pas de l’argent perdu. J’espère bien faire un saut à Sydney depuis la Nouvelle Zélande et j’aurais alors besoin d’un visa. Une deuxième surprise m’attendait… Positive celle-là. Je pouvais faire enregistrer deux bagages en soute au lieu d’un seul habituellement. Heureusement car cette compagnie n’autorise pas de sac de plus de 7 kilos en cabine et j’ai été contraint de peser mon sac… qui pesait plus de 9 kilos… Heureusement toutefois que je voyage léger, mon vol entre Los Angeles et Berlin en juillet ne me permet pas d’emporter plus d’une valise en soute. Tout est bien qui fini bien.

Quelques jours plus tôt, j’ai voyagé de Vancouver à Los Angeles en bus. Certains me trouvent un peu fou de faire 2 jours et une nuit de bus, d’autant plus que j’ai dû en changer 4 fois. À la réflexion, le voyage n’était pas si éprouvant. Peut-être que je suis en train de prendre l’habitude de voyager.

Mon départ de LA m’autorisait un petit crochet par la maison de mes logeurs Patrick et Cora à La Quinta, près de Palm Desert en Californie. Ils m’ont vraiment très bien accueilli. J’ai passé un week-end avec eux très rapide mais reposant. J’ai même peu faire une marche dans le désert. Ils vont me manquer..

À LA, j’ai été très gentiment hébergé par un ami de mon père, Jean-Charles, qui décida cinq ans plus tôt d’émigrer aux Etats-Unis. Je n’y ai passé qu’une journée. Toujours est-il que j’ai tout de même pu me promener un peu. Je me suis donc rendu de West-Hollywood, là où il habite avec sa femme, à Santa Monica, pour admirer une incroyable plage de sable fin sous un soleil radieux. J’ai même pris des coups de soleil malgré la crème solaire, c’est pour dire. Je comprends mieux pourquoi Jean-Charles habite ici. Un temps pareil 365 ans jours par an, c’est attirant !

Désormais, l’émisphère sud m’attend. Je regarderai pour vous les siphons dans les baignoires si ça vous intéresse. Heureusement que je suis allé faire un stage en Californie et à Hawaii car là bas, en bas, c’est l’été qui bat son plein.

Prenez soin de vous et à bientôt pour les prochains développements.